Jean-Louis Sérié, peint depuis son plus jeune âge, il a suivi des cours auprès des plus grands peintre toulousains tels que GUILLOU, SHINTONE et DARQUES.
Dans son désir de capter la lumière, ce peintre assume l’héritage de la peinture flamande et donne aux objets une présence et une vie.
« Où que ce soit , Jean-Louis Sérié peint le monde et sa peinture étant à la limite de l’évocation, il peint donc avec son regard et sa gestuelle, ainsi ses toiles sont d’ici et d’ailleurs. Mais il n’est pas important de savoir si c’est d’ici ou d’ailleurs, ce qu’il est, c’est le désir sous-jacent, la sensualité, le plaisir de peindre et de partager.
Des paysages passent, mais Jean-Louis Sérié ne change pas son mode de « composer » c’est le son, qui parfois est différent. Le son, car, il y a une évidente musicalité dans sa peinture. Elle pourrait « illustrer » la musique de Stravinsky, « Le Sacre du Printemps », » New-York Fall » d’Antony Braxton quand c’est l’été indien…
Comme je l’écris plus haut dans ce texte, la peinture de Jean-Louis Sérié est une ode à la nature mais aussi au printemps et sa lumière particulière. Que l’on l’a trouve figurative ou « abstraite », la peinture de Jean-Louis Sérié est avant tout un poème qu’il offre à la lumière. »
Michel FOURCADE, artiste